mi * luce

lampe mi luce a 290 euro

interviewer pour journal

- Tout d’abord, qui est derrière Mademoiselle and co ?
- Ingrid Anne-Debroise, 38 ans, née à Caen en Normandie et maman de 3 pitchounettes,Oléna,
May Line et Lou Ann.
- D’où vous est venue l’idée de créer des lampes ?
- Euh !! (rire) Ma réponse va peut-être vous paraître farfelue. Bon je me lance. Petite filles j’adorais
dessiner des princesses…
- …Normal…
- …Oui mais pas seuleument. j’aimais aussi dessiner des montres, des lampes et des gants...
- Effectivement c’est plus surprenant. Mais revenons en au présent.Quelles sont les particularités de vos
lampes ?
J’avais envie de créer une lampe au dessin pure et intemporel, l’abat-jour donnant le style à la
lampe. Elles sont soignées jusqu’aux moindres details. Bien que produites en petites séries, elles
sont fabriquées de façon industrielle avec des moyens modernes. Pour finir j’ajoute que c’est une
fabrication 100% française.
- Quelles sont vos ambitions pour votre entreprise et vos produits ?
- J’aimerais les commercialiser dans les magasins de luxe et auprès des nombreux professionnels de
la déco en France mais aussi en Europe et pourquoi pas au japon où l’on est très friand de la “French
touch”. Je pense aussi les diffuser par internet.
- Que vous a apporté votre ancien métier de mannequin ?
Malgré que ça soit dans ma nature je pense, la rigueur et le sens de l’ésthétique… Mais au fait comment
savez-vous que j’étais mannequin… ?
- Je vous ai vu défiler sur les podiums.
- Ah ! je suis heureuse de voir que mon image a dépassé le cercle de ma famille et de mes amis !
(rire). Je savais que le mannequinat ne durerait pas toute ma vie...Maintenant je suis un mannequin
à la retraite (rire). Je prenais ça pour un loisir. A coté je bossais dur mes études pour pouvoir trouver
un job. Pour le mannequinat je n’ai rien demandé à personne, on m’a abordé dans la rue et
voilà…maintenant la profession lorgne sur mes trois filles ... aiee
- Pourquoi avez vous lancer votre marque maintenant ?
- J’ai travaillé dans différentes entreprises mais je me sentais à l’étroit dans ma peau de salariée. Les
uniformes ne me vont décidément pas... je pense avoir un côté extraterrestre, je vois souvent les
choses différemment des autres. C’est parfois irréel...
- Ah ! une dernière chose, vous dites que vos abat-jour sont fabriqués en plume d’anges (sourire), c’est
vraiment de la plume d’ange ?
- Oui bien sure, moi qui ai souvent la tête dans les nuages, j’en profite pour récolter des
plumes…(rire)
- Merci, je suis content de vous avoir rencontrer. j’ai beaucoup rit. Que peut-on vous souhaiter pour l’avenir?
- Que vous puissiez encore m’interviewer. Cela voudra dire que je suis toujours là et mon entreprise
aussi.

mi * luce

mi * luce

dimanche 14 juillet 2013

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